N°50 | Entre virtuel et réel

Gilles Haberey

Le retour de la violence et la fin des sanctuaires

« Rien n’est plus pénible à surmonter que les difficultés que l’on croyait surmontées »

Alexis de Tocqueville (1805-1859)

En stage comme aspirant au 511e régiment du train dans le cadre de ma première année de scolarité à Saint-Cyr, je me revois accueillir, en février 1987, les jeunes appelés de mon peloton d’instruction. L’un des tout premiers cours visait à les sensibiliser à la réalité de la menace par la projection d’un film censé ouvrir les esprits : pendant plusieurs minutes se succédaient, de manière ininterrompue et sans commentaire, des images des deux guerres mondiales, puis de moyens militaires blindés et d’artillerie soviétiques, des escadrilles d’avions de chasse, des flottilles agressives – sans faire, au passage, l’économie d’une explosion nucléaire… Enfin, un slogan apparaissait pour résumer, de manière incontestable et conclusive, ce moment partagé : « Ce monde est dangereux ! » Ce film a aujourd’hui disparu des séances d’instruction. Mais si nous étions amenés à en élaborer un nouveau, qu’y ferions-nous figurer ? Le fond serait-il si différent ? Et le titre ne serait-il pas le même ?

La question de l’évaluation de la dangerosité du monde et de nos sociétés n’est en effet pas tranchée. Il est même à craindre qu’elle ne le soit jamais : cela imposerait, pour l’être, qu’une échelle soit établie pour mieux faire le distinguo entre ce qui relève des faits et des chiffres, par nature incontestable, et ce qui revient aux perceptions et au ressenti, plus incertain. Ainsi, de fait, il convient de reconnaître une réelle complexité à dissocier virtualité et réalité dans notre rapport à la violence et à la guerre, surtout lorsque celle-ci ne veut pas dire son nom.

De nombreux signes interpellent pourtant nos autorités politiques et militaires sur une forme d’emballement du recours au rapport de force comme mode naturel de traitement des divergences de vues. Faut-il pour autant considérer que le recours à la violence tendrait à s’étendre et à se radicaliser ? N’est-ce pas une simple sensation, infondée, fruit d’une difficulté à apprécier les tensions naturelles du monde ?

Au-delà du sentiment propre à chacun, autorisons-nous à dresser un constat qui rend pertinent notre questionnement, sinon notre inquiétude : depuis plusieurs décennies, l’éloignement de la menace avait permis de construire un système de défense s’appuyant sur un territoire national sécurisé et hors d’atteinte, et sur des interventions « extérieures » affichant notre volonté de participer à l’équilibre du monde. Exprimée au travers d’engagements limités, qualifiés parfois abusivement de « basse intensité » ou de « stabilisation », la guerre était lointaine, « impopulaire » pour reprendre les propos de Monique Castillo1. Or, aujourd’hui, nos armées évoluent dans un paysage stratégique devenu profondément instable, avec la résurgence inattendue de possibilités d’engagements majeurs et durables face à des ennemis profondément désinhibés. Le retour de la guerre n’est plus désormais une option appartenant à une lecture post-clausewitzienne datée de l’histoire, mais bien une hypothèse réaliste des conflictualités à venir. Si ce constat est majoritairement partagé dans son acception globale, en avons-nous évalué toutes les conséquences ?

  • L’illusion funeste de l’intégrité absolue

Pour une population qui n’a pas connu de conflit direct depuis soixante ans, phénomène assez rare dans l’histoire de la France pour être relevé, le rapport à la violence mérite d’être interrogé. La conviction que la fin des guerres de masse permettrait de remplacer progressivement l’action militaire par des opérations de police, par l’application du droit international, voire par une forme abstraite de pacification naturelle des esprits2 était jusqu’à il y a peu largement partagée. La barbarie n’entrait dans les foyers qu’au travers de la virtualité des écrans de télévision ou des jeux vidéo, suscitant une émotion réelle, mais souvent désincarnée. Pire, la violence semblait marquée du sceau de l’interdit et, par extension, de la transgression et de l’inacceptable. Certes, certains phénomènes guerriers n’avaient pas totalement disparu, mais ils semblaient néanmoins bien éloignés du quotidien et confiés à des experts professionnels. Et si besoin, dans le doute, une supériorité technologique omnipotente pourvoirait à assurer la sécurité face à tout type de menace.

Outre le fait nucléaire censé, du moins dans l’imaginaire, écraser la manœuvre par la menace d’utilisation de l’arme ultime, les superpuissances n’avaient eu de cesse de construire un arsenal guerrier dans une logique quantitative, mais aussi qualitative. La guerre du Golfe (2 août 1990-28 février 1991), validation du concept de l’AirLand Battle3, semblait acter la domination sans partage d’un outil militaire où l’un des acteurs disposait des moyens lui conférant une totale suprématie : système de commandement et de contrôle résilient autorisant une accélération du processus de prise de décision, renseignement multicapteurs s’appuyant sur un réseau satellitaire dense, frappes à distance et supériorité écrasante des feux autorisée par un ciblage précis, suprématie aérienne incontestée, capacité de choc garantie par des forces blindées et mécanisées puissantes…

Notre société a-t-elle vécu pour autant ces trente dernières années dans un rapport si distancié à la violence qu’elle en méconnaisse la brutalité du quotidien ? Assurément non. Les catastrophes naturelles, sanitaires et technologiques se sont succédé durant la période considérée4 ; des attentats multiples l’ont frappée depuis le 11 septembre 2001 avec, en France, la litanie des épisodes sanglants de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher en janvier 2015, en passant par Paris le 13 novembre 2015 ou encore Nice le 14 juillet 2016.

Pour autant, aujourd’hui, la sensibilité de la société à ces crises semble s’être parfois hystérisée, en particulier du fait de leur traitement médiatique sous un angle résolument anxiogène5 : ces événements renvoient à l’impossibilité pour les services de l’État d’assurer une sécurité et une protection absolues, ce qui est considéré comme inacceptable. Et si ces phénomènes de crise dévoilent à l’occasion des comportements extrêmement courageux, et mettent en relief le dévouement et le professionnalisme de certains, ils soulèvent aussi la question du nombre de nos concitoyens psychologiquement meurtris ou développant à l’occasion des comportements proches de la panique6. Cette exigence inextinguible d’une protection totale et permanente est évidemment illusoire, car la violence est par essence multiforme, déstabilisante et souvent imprévisible.

  • Le retour brutal à la réalité de la violence guerrière

Au-delà de la seule violence domestique, toujours plus insupportable aux yeux de nos compatriotes, voilà que l’hydre guerrière refait surface et s’étend. Sans surprise, l’histoire des batailles n’est jamais définitivement close. Dans cette recherche permanente de domination de l’autre pour imposer ses normes, l’ennemi élabore des stratégies de contournement de la puissance, consubstantielles à toute conflictualité : la destruction des tours du World Trade Center, l’enlisement américain en Irak après la phase de conquête du pays, l’échec israélien de 2006 au Sud-Liban et les vagues d’attentats frappant les pays européens depuis 2003 sont autant d’exemples où l’imagination tactique rend les effets de la technologie inopérants, ou du moins insuffisants. L’annexion surprise de la Crimée par les forces russes en 2014, la prise de Kaboul par les taliban en août 2021 ou le développement du djihad au Sahel et jusqu’au Mozambique illustrent de plus, si besoin était, le recours désormais désinhibé au rapport de force. Tous les domaines de l’action de guerre, qu’ils soient matériels ou immatériels, nous sont contestés. En ce sens, la guerre redevient un affrontement des volontés et des intelligences, où la course aux armements est une condition majeure mais non exclusive de la victoire.

Ce phénomène est d’autant plus inquiétant que l’espace géographique d’affrontement est désormais continu. Aujourd’hui, nul ne peut imaginer qu’un conflit mené à distance contre une puissance ou un groupe armé à vocation hégémonique n’ait pas de répercussions sur les territoires nationaux ; toute friction, y compris au stade de la compétition, entre groupes infiltrés, proxies, diasporas et relais politiques ou identitaires verra se former des alliances de circonstance agissant sur notre sol contre nos intérêts. Dès lors, toutes les formes d’expression de l’État, jusqu’à la population elle-même, pourraient être subitement plongées dans une violence guerrière tous azimuts, qu’il s’agisse de sabotages, d’attaques ciblées ou aveugles, de prises d’otages… Demain, le front ne sera pas uniquement au loin ; il sera multidirectionnel. La question de la qualification de ce nouvel espace conflictuel, même si le cadre juridique constitutionnel y répond en partie, est posée : peut-on encore parler de base arrière ? Le territoire national est-il un théâtre d’opérations putatif ? Est-il déjà une zone d’engagement, voire une zone d’opérations ? Nous pouvons au minimum nous accorder sur un point : la notion de « sanctuaire national », entendu comme un lieu ou un domaine protégé contre toute agression, est à redéfinir à l’aune des menaces susceptibles de peser sur notre territoire.

Plus grave encore, en matière de valeurs humaines et de droit dans la guerre, nos ennemis s’inscrivent déjà dans une conformation psychologique de totale inhibition. Prenant appui sur un combat religieux ou idéologique de portée totalitaire, ils peuvent frapper sans limite éthique : civils comme militaires, enfants comme vieillards, religieux ou laïcs, responsables politiques comme agents de l’État ou simples citoyens sont des cibles de cette violence soit physique, soit intellectuelle, par une forme insidieuse d’imposition de normes totalitaires. Aujourd’hui, décapiter un professeur d’histoire-géographie à la sortie de son collège ou implanter un virus dans le système informatique de l’hôpital de Villefranche-sur-Saône en pleine crise covid ne pose pas de problème à certaines personnalités au référentiel éthique fragilisé. Dans ce domaine comme dans d’autres, la fin des évidences en appelle à une réflexion profonde sur les valeurs portées par nos sociétés comme sur la manière de les enseigner et de les partager.

  • Le retour des justes perceptions
    pour adapter les conditions d’action

Fort du postulat que l’espoir de maintenir des espaces totalement sanctuarisés est vain, il convient de réfléchir aux conditions de prise d’ascendant sur l’adversaire. Nos armées ne disposent plus d’une suprématie incontestée, permanente et omnidirectionnelle. En contrepartie, elles peuvent s’appuyer sur des moyens adaptés et crédibles, une culture opérationnelle forte et des structures de commandement solides pour s’assurer, au moment jugé le plus adéquat, dans un domaine précis et face à une menace aux contours identifiés, des conditions de la neutralisation de la menace. La création de ces « fenêtres de supériorité » nécessite de disposer au préalable des capacités à gagner la bataille du choc, de la manœuvre et des flux informationnels, puis de les combiner avec pertinence. Pour cela, il est impératif de bien identifier l’adversaire, de ne pas hésiter à le qualifier, et de réfléchir en amont à ses savoir-faire et possibilités en regard de nos propres fragilités7. Il convient sans doute également de remettre en valeur une culture de la planification et de l’anticipation de la menace, souvent sacrifiée sur l’autel de la conduite, et recourir à une approche plus préactive et proactive que réactive8.

Mais cela est-il suffisant ? Évidemment non. Pour anticiper ou absorber un choc et éradiquer un excès de violence, encore faut-il que les systèmes organisationnels et nos forces y soient prédisposés et en soient capables. Aujourd’hui, la question de la résilience face à la violence guerrière est fondamentale et appelle à un renforcement des capacités, au moins à trois niveaux :

  •  matériel, avec la nécessité pour les armées, et au-delà pour tous les organismes d’État en charge de la sécurité comprise au sens large, de gagner en « épaisseur », c’est-à-dire en aptitude à disposer des moyens, dans la durée, à remplir sa mission. À titre d’exemple, seule la reconstitution de stocks9, avec l’abandon de la toute-puissante logique de flux strictement économique, autorise des réponses rapides autant de temps que nécessaire. Le volume humain consacré à la résolution de crise n’est pas absent de cette équation10, tout comme l’accès à des technologies majeures et à des armements de nouvelle génération11 ;
  •  géographique : face à des attaques frappant le territoire national, il s’agit de répondre au plus vite à des situations de crise majeure12 avec le volume de force et les moyens attendus. Un renforcement est envisageable, soit en augmentant la mobilité et l’autonomie tactique des unités, soit, éventuellement, en constituant des unités de réserve accolées à des structures aux capacités opérationnelles limitées (états-majors, écoles), mais disposant de moyens de stockage, d’hébergement, d’alimentation et de commandement. D’ailleurs, la réactivité et l’adaptation des réponses aux crises locales seraient encore améliorées en cas d’urgence avérée par une plus forte subsidiarité consentie aux états-majors zonaux et aux régiments. Les délais étant souvent comptés, le renforcement des mesures de coordination et de coopération entre les divers services de sécurité intérieure et les armées sur le territoire national devient un enjeu fondamental pour faire face aux crises, mais aussi à des menaces plus militarisées ;
  •  cognitif : face au chaos initial d’une crise dont on sait peu de chose, et qui génère des flux informationnels débridés et incohérents suscitant affolement et panique, est en jeu la question du développement d’approches raisonnées et plus largement du discernement, notamment au profit de nos plus jeunes. Aujourd’hui, ainsi que le souligne la sociologue Anne Muxel, « l’ampleur de la défiance institutionnelle est problématique tant elle met en péril les conditions mêmes de la confiance en la démocratie et en ses instances de contrôle. Cette fragilisation de la confiance démocratique ouvre la porte aux vérités alternatives et aux théories du complot, qui touchent une fraction significative de la population, dont les jeunes au premier chef. La pénétration de ces théories s’articule à une défiance croissante envers les médias audiovisuels classiques alors que les réseaux sociaux prennent une place prépondérante dans les modes d’information et de communication au sein de la jeunesse »13.

Cette dérégulation du champ informationnel, et par extension cognitif, ouvre de larges opportunités à des acteurs mal intentionnés pour générer peur, inhibition, repli sur soi, haine ou violence. Or, comment apporter une réponse adaptée à la réduction des rapports humains à l’emploi de la force si le corps social est fracturé et sans repères ? En ce sens, la bataille du narratif et du discernement est d’abord celle de l’éducation à la compréhension de l’information, à la confiance dans les liens socio politiques, de la régulation des flux de nouvelles infondées et pernicieuses. Mais elle est aussi celle de la transmission de valeurs et de normes qui fondent notre démocratie et une volonté de vivre ensemble. Et sachant que, dans notre société moderne, rien n’est induit et tout est à démontrer, cette bataille est sans doute la plus essentielle, mais aussi la plus complexe à mener.

  • Qu’en conclure ?

La transformation de la menace et la densification du spectre de ses modes opératoires rendent toute notion de sanctuaire désormais illusoire et invalide. Aucun espace, matériel ou immatériel, n’est plus inviolable. Confrontée à des formes multiples de violence vécues ou fantasmées, la société française semble tendue entre un retour brutal et déstructurant psychologiquement à la réalité de l’état du monde, et un refus de considérer les signaux d’alerte sécuritaire dans leur actualité et leur dangerosité. Par essence, les armées ne peuvent se contenter d’observer les turbulences du monde. Elles ne peuvent, non plus, être surprises, faute qui serait impardonnable. Mais elles ne peuvent agir que si chacun s’est approprié la réalité du retour de la guerre. Jamais sans doute la célèbre phrase de Thucydide, dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse, n’a été plus vraie qu’aujourd’hui : « La force de la cité ne réside ni dans ses remparts ni dans ses vaisseaux, mais dans le caractère de ses citoyens. »

1 « La guerre a cessé d’être populaire, et, avec cette impopularité, le sens de l’action militaire devient objet de méfiance et de rejet. Impopulaire doit s’entendre en un sens fort, et non pas simplement comme un effet du caprice ou de la mode : les peuples auraient cessé de croire que la guerre est la manière dont ils forgent leur destin et se donnent une place dans le monde », in M. Castillo, « Les mutations du sens de l’action militaire », Inflexions n° 1, 2005, p. 33.

2 Cette dernière serait, à l’évidence, le fruit naturel du développement d’une citoyenneté mondiale favorisée par les flux économiques et par la suppression des cultures et des territoires.

3 Concept américain, né en 1982, mettant en relief la nécessité et les modalités d’une coordination renforcée entre forces aéroterrestres et forces aériennes pour frapper le corps blindé et mécanisé du Pacte de Varsovie.

4 Les tempêtes Klaus (2009), Xynthia (2010) ou Irma (2017) ; les épisodes de canicule (2003, 2006, 2017, 2019) ; les inondations (Vaison-la-Romaine en 1992, Var et Alpes Maritimes en 2010, 2015, 2019, 2020) ont alterné avec des tensions sanitaires (crise h1n1 en 2009-2010, crise covid-19) et avec des accidents sur des sites industriels (azf à Toulouse en 2001, usine Lubrizol à Rouen en 2019)…

5 Les formes de violence qui se répercutent en boucle, parfois ad nauseam, dans les médias témoignent sans doute d’une dégradation toute relative de la notion de contrat social et de l’autorité, mais à l’évidence aucunement d’une perte de contrôle de la sécurité générale par les structures de l’État qui en ont la charge.

6 À la veille du deuxième confinement, le 29 octobre 2020, plus de sept cent trente kilomètres de bouchons sont recensés sur les axes permettant de quitter Paris…

7 Aussi faut-il ne jamais hésiter à mettre sur pied des Red Teams, structures autonomes s’identifiant à l’ennemi, maîtrisant ses codes socio culturels, et libres de tester, autant que de besoin, nos propres systèmes de force et de protection.

8 Être préactif signifie que l’on se positionne de façon à identifier les opportunités, à voir venir les problèmes avant qu’ils ne se produisent et à les prévenir. Être proactif signifie que la menace est déjà identifiée et que l’on veille, par avance, soit à la maîtriser ou à la neutraliser, soit à la convertir en opportunité. Être réactif revient à réagir à l’événement en apportant les solutions adaptées dans les meilleurs délais.

9 Munitions, pièces détachées, carburant, énergie, alimentation, habillement, médicaments et moyens d’évacuation et de traitement médicalisés…

10 Les travaux relatifs au renforcement des effectifs et des compétences opérationnelles des réservistes vont en ce sens (voir les annonces du président de la République le 14 septembre 2021 à Roubaix en conclusion du « Beauvau » de la sécurité).

11 Intelligence artificielle, fusion et gestion de métadonnées, coexistence native de systèmes technologiques haut de spectre et de modes alternatifs, robotisation, programme Titan…

12 L’instruction interministérielle relative à l’engagement des armées sur le territoire national lorsqu’elles interviennent sur réquisition de l’autorité civile (iim 10 100) stipule qu’il est possible d’engager les armées lorsque les moyens nécessaires sont indisponibles, inadaptés, inexistants ou insuffisants.

13 A. Muxel, « Observatoire de la génération Z », Étude n° 89, irsem, octobre 2021, p. 51.

De l’utilisation guerrière des... | M. Peucelle