Laurent López

Doctorant à l’université Paris-IV-Sorbonne (Centre d’histoire du xixe siècle), Laurent López termine une thèse sur les relations entre policiers et gendarmes en matière de maintien de l’ordre et de police judiciaire (1870-1914), sous la direction de Jean-Noël Luc et Jean-Marc Berlière. Il a récemment publié « Des gendarmes luxembourgeois chez les brigades du Tigre : les prémices de la coopération policière transfrontalière en Europe occidentale » (Revue de la gendarmerie nationale n° 226) ; « Avant les gaz lacrymogènes : les liaisons dangereuses du maintien de l’ordre, de la police politique et de la police judiciaire en France durant la iiie République », (Déviance et Société, 2008/1, vol. 32) ; « Les archives contre la statistique officielle ? Retour sur les brigades du Tigre (Dijon, 1908-1914) » (Genèses. Sciences sociales et histoire n° 71, juin 2008) ; « Être mobile : circulation d’une épithète entre gendarmerie et police (1871-1914) », in Jean-Marc Berlière (dir), Être policier : les métiers de police(s) en Europe, xviiie-xxe siècle (Presses universitaires de Rennes) ; « Ce que fait le maintien de l’ordre sur les gendarmes et les policiers. La force publique sous l’effet d’une interaction professionnelle contrainte (1870-1914) » (Vingtième Siècle. Revue d’histoire n° 102, avril 2009) et « Quand les forces de l’ordre assiégeaient la bande à Bonnot : l’assaut final de Nogent au regard des archives de la police et de la presse », site Criminocorpus (page web en cours d’édition), http://www.criminocorpus.cnrs.fr/article375.html